True Grit est partout !




Angle[s] de vue


"Un western pur jus mêlé à une aventure initiatique, des situations cocasses, des personnages hauts en couleurs, des dialogues ciselés…" 
Comme au cinéma


Blog L'indépendant


"Borgne to be alive."
Écrans


Un axolotl dans sa baignoire



Axolotl Roadkill fait parler les curieux, et tant mieux ! Car ce roman, aux saveurs salées sucrées, amères et douces, mérite qu'on se penche dessus, et qu'on s'y attarde. 

"Je crois en l'écriture. Elle me sauve de certaines choses. C'est une passion qui guérit." 
Helene Hegemann


"Roman manifeste d'un postmodernisme 2.0."

Grazia


© DR

"Un roman choc."
"Une révolte intime et violente."

Le Focus vif

"A cette identité brouillée semble répondre une époque décadente."

Diversions Magazine



True Grit, une pluie d'articles


20 Minutes



Marianne



Paris Match



Rock & Folk



Voici



Figaro et vous



Télérama




           
 L'Humanité




L'Express
True Grit - Le Making of 



"La réussite de True Grit, éponge à double face, doux et grattant à la fois, tient à ce décalage constant et à ces allers-retours entre coup de chapeau et coups de poing à un genre qui aime bien se faire bousculer."

L'Express



"Une merveille."
Charlie Hebdo 


Le Point


TSF Jazz… 


Rue 89


L'atelier Dantec


Hello Coton



La grande Stef

Le Nouvel Obs fait sa chronique sur True Grit


"Un des plus beaux romans du genre."

"Mattie commence son livre par ces mots qu’on n’oubliera jamais: «Les gens ne croient pas qu’une fille de quatorze ans puisse quitter sa maison pour aller venger la mort de son père en plein hiver.»"

"Très picaresque, on rit parfois, on sourit souvent, on s’émeut aussi."


True Grit, un roman primitif


"On ne peut imaginer livre plus miraculeux que celui de Charles Portis. Ce talent pour conjuguer, à travers un récit à la première personne, les mythes fondateurs de la littérature américaine, de Mark Twain à Melville, de la perte de l'innocence à la quête illusoire d'un amour de jeunesse, aussi inattendu qu'impossible, fait de
True Grit un grand récit primitif, d'une simplicité touchant au sublime."
Samuel Blumenfeld, Le Monde
http://www.lemonde.fr/cinema/article/2011/02/22/le-roman-de-charles-portis-grand-recit-primitif-americain_1483643_3476.html

True Grit dans Métro



"Un western qui ne manque assurément pas d'insolence et d'humour."

True Grit dans le Monde


"Un grand récit primitif, d'une simplicité touchant au sublime."

Ode au récit ordinaire


"Ce livre est un petit ONVI !"

Un roman prêt à exploser à tout moment - My Boox

 

Photo © Céline Nieszawer

"Helene Hegemann ne plagie pas, elle pratique l’intertextualité. Sa culture, ses références, elle les digère et les restitue dans un roman-cocotte-minute prêt à exploser. 
Aussi hallucinant qu’halluciné."

Hommages à True Grit


Télérama et GQ célèbrent le livre de Charles Portis. 
Des articles à savourer…



"Le style du discret Portis fait des merveilles, son goût du dialogue et l’âpreté documentaire de son récit nous font basculer corps et bien dans l’Amérique mythique du XIXe siècle…" TELERAMA





"Neuf auteurs étrangers à lire en février." QG




"Il  fait partie de ces romans, qui se transmettent sans prendre une ride." HISTOIRE D'EN LIRE





True Grit, en quelques phrases





Extrait


"Les gens ne croient pas qu’une fille de quatorze ans puisse quitter sa maison pour aller venger la mort de son père en plein hiver. Cela ne semblait pas si étrange, alors, mais j’admets que cela n’arrivait pas tous les jours. Je venais juste de fêter mon anniversaire lorsqu’un lâche du nom de Tom Chaney abattit mon père à Fort Smith, en Arkansas. En plus de sa vie, il lui vola son cheval, cent cinquante dollars en liquide, et deux pièces d’or frappées en Californie qu’il gardait dans la doublure de sa ceinture de toile."

Quand une gamine têtue rencontre un loubard à l'arme facile



"Le cradingue et l'effrontéé."

Le Point



Le blog Les écrans de Claire
 "Un roman qui a du cran et du chien !"


Le Serpent ouvre son site Internet



… ouvre ses portes !

Actu, événements, nouveautés, coups de coeur, 
tout est sur notre site Internet, 
vous n'avez plus qu'à cliquer…

True Grit



True Grit, par Manuela Giroud pour Le Nouvelliste




True Grit, par Sylvain Thuret, pour le blog La Mensuelle



Hommage à Helene Hegemann


A lire, un très bel article  sur Axolotl Roadkill et son auteure.

"Un journal intime au style strident."
Julie, Obiwi.fr


Extrait

"Une écriture remarquable

Si j'utilise le terme d'ovni littéraire pour qualifier le roman de Hegemann c'est pour la qualité atypique de son écriture : un mélange d'images et un débit de paroles qui s'apparentent parfois à du slam. À certains passages, surtout dans la première partie du livre, le style fait penser à celui de Las Vegas Parano : « Deux ombres hystériques, dont je qualifierais la présence de menaçante, nous font des signes de la main depuis un canapé en béton », « Il me salue avec une tache de banane sur sa chemise noire et des baskets multicolores et tient par la main une nana de vingt ans prénommée Samathan qui est soit handicapée mentale soit a très envie d'un manteau de fourrure ». La lecture de ce journal intime se fait d'une traite sans grande difficulté. Celle que l'on surnomme désormais « La Sagan berlinoise » manie avec succès un langage brut et poussif."

 Merci à Julie pour son article

En direct de la Berlinale, Helene Hegemann et France Culture



Autour d'Axolotl Roadkill

Yagg.com rencontre Helene Hegemann


 



 Une interview touchante d'Helene Hegemann, sur Yagg.com



Une pluie d'articles déferle sur Axolotl Roadkill



"Si je devais écrire mon autobiographie, je serais très loin d'Axolotl Roadkill."
Helene Hegemann
Be 




" La grande découverte […], quand on lit Hegemann, c'est qu'elle n'est pas une plagiaire aux airs de petite fille rock-folle vendue par les médias allemands, une autobiographe trempée dans le cul et la poudre, mais une ironiste de premier plan. " 
Eric Loret
Libération




Le  Nouvel Observateur




Les Obsédés textuels
"Rejoignez le club des affreux, sales et méchants. Cessez de lire et d’écrire comme avant. Avec Helene Hegemann et ses projets toxiques, sortez de chez vous et témoignez. C’est l’avenir de la littérature qui est en jeu."
Extrait du blog Les Obsédés textuels. Merci à Cédric Bru pour sa critique croustillante.

Fluctuat.net rencontre Helene Hegemann





"Scandaleux pour les uns, génial pour les autres, Axolotl Roadkill, le premier roman d'une jeune allemande de 17 ans, a fait tourner beaucoup de têtes - et couler beaucoup d'encre."

Maxence Grugier, Fluctuat.net




http://livres.fluctuat.net/helene-hegemann/interviews/12248-Entretien-avec-Helene-Hegemann.html




Extrait

Fluctuat : Vous aviez déjà une pièce de théâtre et un film à votre actif. Pourquoi et quand vous êtes vous dit : "maintenant je dois écrire un roman" ? 

Helene Hegemann : Je ne me suis pas vraiment dit cela. Nous réalisions le montage de mon film, Torpedo, quand tout à coup, je me suis mise à écrire. J'avais rédigé environ 30 pages. J'ai cherché sur Internet l'adresse mail d'une agence littéraire pour envoyer mon texte. J'ai été très surprise lorsqu'on m'a contactée, peu de temps après, pour me proposer un rendez-vous, puis dans la foulée une maison d'édition, pour la publication d'un livre. On m'a donné ainsi la motivation d'écrire ce roman, même si je n'avais encore aucune idée sur la façon dont j'allais m'y prendre. Je voulais tenter l'aventure.


Vous êtes une sorte de paradoxe incarné, car beaucoup de gens disent que votre génération ne lit pas, et vous, vous décidez d'écrire un roman à 16 ans...

En réalité, je doute que le fait de ne pas lire soit un phénomène propre à ma génération en particulier. Il existe dans chaque génération des personnes qui ne lisent pas, j'imagine. Je ne parlerais pas non plus de paradoxe ; pour ma part j'écris et je lis beaucoup, certes, mais cela n'a rien à voir avec mon âge. C'est plutôt notre vision du monde qui détermine le support avec lequel nous décidons de nous exprimer.


Parlons de votre style : il est électrique, frénétique et parfois mélancolique. Comment avez-vous combiné ces trois éléments et mis au point ce sentiment d'urgence ?

La mélancolie n'est pas un sentiment que je connais personnellement. Et selon moi, elle n'apparaît pas dans mon roman. Je crois que votre ressenti est plutôt le fruit d'un hasard, conditionné par la socialisation qui détermine notre langage et notre style d'écriture.

Helene Hegemann, Portrait




Prix du polar SNCF, Hiver en finale



Les votes pour élire le vainqueur du prix du Polar SNCF sont ouverts. Si vous voulez soutenir Hiver de Mons Kallentoft, rendez-vous sur le site du prix, à l'adresse suivante :

True Grit : on aime


Les chroniques de :

Noirs Dessein

et…


Air le Mag


Chienne de vie

 

Le blog Les Plumes d'Audrey nous présente Chienne de vie
 
« Chienne de vie » est le 5ème roman de Helle Helle, écrivain danois traduit en 7 langues, mais son premier traduit en français. J’ai toujours trouvé un ton particulier aux romans des pays nordiques, quelque chose de froid, de bleu, de particulièrement calme.


Bente est un écrivain connu au Danemark.
Un jour, elle plaque tout, sa maison, son mari, son entourage, sa vie, prend un bus à l’aveuglette et se retrouve sur la côte, au bout du Danemark. C’est sur le banc de l’arrêt de bus, juste avant une tempête, que Johnny et Cocotte la trouvent et la recueillent. Adoptée, elle va partager le quotidien de ce couple simple mais heureux et de son entourage.
Quand je parlais de ton particulier pour les romans nordiques, c’est d’autant plus vrai dans « Chienne de vie ». Je ne connais pas le Danemark mais Helle Helle arrive à décrire les petits riens comme les grands tout avec beaucoup d’efficacité.
La mer, parfois grise, parfois bleue, déchainée ou calme mais toujours glaciale, le vent, le froid, les habitudes de ces « petites gens » qui vivent au rythme des tempêtes, à des kilomètres de toute civilisation et commerces, un quotidien difficile et qui semble pourtant terriblement simple et apaisant. C’est tout ceci que Bente va découvrir et celle dont ne comprend pas tout d’abord pourquoi elle est partie va trouver sa place dans ce décor.
Au dur et à mesure que le temps passe et que Bente apprend à connaître Johnny, Cocotte, Elly, Ibber et les autres, elle revient sur sa vie d’avant, sur ses connaissances d’avant, sur son existence dans laquelle elle paraît ne faire que passer, un fantôme.
On n’a pas toutes les réponses mais l’atmosphère distillée est suffisamment pesante pour comprendre ou du moins entrevoir le caractère de cette femme qui n’attend plus rien de personne et passe dans la vie des gens comme un courant d’air.
Un ton particulier donc, des couleurs froides, une ambiance triste et pourtant une prouesse: celle de nous faire intégrer durant quelques 220 pages un quotidien très bien rendu et dont on sentirait presque la morsure du feu de cheminée.

Merci à Audrey pour son article.
 

Helene Hegemann "alimente les conversations"



Le Courrier International


Ouest France

"Je ne rentre dans aucune case."

 

Qu'est-ce qu'un axolotl ?…


Hebdoblog s'est posé la question. 

"Comment peut-on sortir indemne après 
l’écriture d’une telle histoire?"